J’ai commencé mon parcours universitaire par de la sociologie, hésitant entre les sciences sociales, les études de psychologie et le métier d’enseignante.

J’ai opté pour l’enseignement qui selon moi répondait à tous mes centres d’intérêts à savoir : l’observation de la psyché, des comportements sociaux, tout en étant immergée dans la relation à l’autre et en répondant à mon goût de la transmission.

Le métier de professeur des écoles est très complet et diversifié. Il demande une grande ouverture d’esprit, de grandes capacités d’adaptation, beaucoup d’écoute des enfants mais aussi des parents. Dans les quartiers difficiles nos missions relèvent parfois de celles d’une assistante sociale, d’une éducatrice spécialisée, d’une psychologue.

Ce métier demande de savoir écouter les individus mais aussi gérer un groupe d’individus. La gestion de conflits occupant une grande place.

Il m’aura beaucoup formée en ce sens.

Tout au long de ma carrière il a fallu me rendre à l’évidence que le bien être et l’épanouissement de l’individu étaient des priorités pour moi. Le cadre scolaire devenait trop étroit.

Cheminant moi même vers des thérapies alternatives afin de me connecter à mon énergie vitale, à mon moi profond, à ma créativité, en laissant un peu de côté mon mental omniprésent, j’ai compris que mon épanouissement passerait par l’accompagnement. L’accompagnement vers la rencontre de soi, vers la découverte de soi, vers un deuxième accouchement symbolique de soi.

Il n’y a rien de plus beau à mes yeux que d’assister à la joie profonde de se (re)découvrir, de s’accueillir avec douceur, de se tendre la main pour aller sur son chemin de vie.

Je sais maintenant que ma mission de vie est d’être cette maïeuticienne d’âme pour vous aider à mettre en forme

vos pensées confuses.

C’est dans la joie et la douceur que je vous propose de nous rencontrer.